« Si on regarde 2 ans en arrière, on a beaucoup progressé : dans la connaissance du virus, de la réponse immunitaire, dans la compréhension des mécanismes des effets pathogènes (on en a déduit des approches thérapeutiques). On a réussi à faire un vaccin dans le temps de la pandémie. On a mis au point des modélisations qui permettent d'anticiper à court ou à moyen terme les évolutions. La population a appris ce qu'est une pandémie et les moyens de base pour s'en prémunir. »
Philippe Sansonetti, chercheur à l'Institut Pasteur et professeur au Collège de France in Les matins de France Culture le 23 juin.
L’Académie de médecine s’alarme du désengagement des États-Unis en santé
Un patient opéré avant le week-end a un moins bon pronostic
Maladie rénale chronique : des pistes concrètes pour améliorer le dépistage
Covid : les risques de complications sont présents jusqu’à trente mois après hospitalisation