Dans son avis, l'Académie « estime que, de plus en plus malmenée par les évolutions sociétales, la figure du père reste pourtant fondatrice pour la personnalité de l'enfant comme le rappellent des pédopsychiatres, pédiatres et psychologues ».

« Aujourd'hui, nous avons un quart des familles françaises qui sont des familles monoparentales (1,7 million de familles, selon l'Insee, soit 22 %, ndlr)  Ne me dites pas qu'un quart des enfants français qui vivent et qui naissent dans ces familles ont des difficultés de construction », a répliqué Agnès Buzyn. « Les études que nous avons à notre disposition sur les enfants qui sont élevés dans des familles monoparentales ne sont pas des études inquiétantes », a-t-elle poursuivi.

(Avec AFP)